Avant la finale de la Coupe de France de volley-ball ce samedi (20h30 à Paris) entre Chaumont et Tourcoing, entretien avec l'entraîneur italien du CVB 52.

"Je préfère choisir un club qui n'a rien gagné car le chemin pour arriver au top niveau, c'est cela qui me donne de l'enthousiasme". Les défis, voilà donc ce qui motive toujours Silvano Prandi qui dispose en tant qu'entraîneur de l'un des plus gros palmarès du volley européen.

Lors de l'entretien qu'il nous a accordé cette semaine, le coach est revenu sur sa décision de rejoindre le CVB 52 en 2015, alors que le club haut-marnais découvrait encore l'élite du volley français. Depuis son arrivée, les résultats ne se sont pas fait attendre : un titre de champion de France et une finale de la Coupe d'Europe Challenge Cup en 2017, une première participation à la Ligue des Champions avec une qualification pour les play-off à la clé (Chaumont affronte les Italiens de Trentino... l'un des anciens clubs de Silvano Prandi, les 14 et 20 mars) et donc une finale de Coupe de France à jouer contre Tourcoing ce samedi.

A 70 ans, Silvano Prandi ne songe pas à ranger son sifflet. Lié au CVB 52 jusqu'en 2019, il se dit prêt à entraîner encore plusieurs années même s'il avoue, lucide, "que cela dépend des autres, pas de moi". L'heure de la retraite n'a donc pas sonné, tant mieux pour Chaumont qui profite de toute la science d'"Il Professore".

Voir l'entretien de Silvano Prandi (avec Bintou Sidibé)

 

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